Isadora la tentatrice

* Nom: Volglomir
* Prénom: Isadora Laetitia
* Age: Où tu as vue que l'on demandait son âge à une femme? En plus, j'ai arrêté de compter au bout de deux siècles.
* Sexe: Féminin, ça ne se voit pas?
* Nationalité: Infernal







* Race: Je suis une démone, une succube pour être plus précise
* Groupe: Juge
* Sexualité: Bisexuelle, comme toutes succubes qui se respectent
* But: M'amuser de bien des manières
* Rang: D

* Description Physique:

 Comment pourrais-je décrire mon joli petit corps. Je pourrais dire que je fais dans les 1mètre 65, mais je devrais aussi donner mon poids. Mais ça, c’est hors de question.

 Que dire d’autre. J’ai de longs cheveux blancs de neige et qui me tombent plus bas que mes fesses, qui sont, quant à elles, ferment et rebondit, juste comme il faut. J’ai aussi deux cornes de démon sur la tête. Elles vont toutes les deux vers mon front d’où elles se relèvent vers le ciel. Elles sont un peu dérangeantes pour me coiffer, mais, je m’y suis faite depuis le temps.

 Ensuite, mes yeux sont d’un bleu clair, à la fois charmant et hypnotisant, et j’ai des oreilles pointues. Je n’entends pas mieux avec, mais c’est mignon tout plein. Que puis-je dire d’autre ? Ah, oui, j’ai une paire d’ailes dans le dos. On dirait des ailes de chauves-souris, mais en rouge légèrement assombrit. J’ai aussi une queue assez fine, de la même couleur que mes ailes si soyeuse, qui se termine par un cœur. J’adore l’utiliser façon et d’autre. Je suis très inventive a son sujet. De plus, elle est à la fois forte et souple, que demander de mieux ?

 Pour la tenue ? En fait, j’en ai plusieurs. Mais il y en a une que je préfère. Elle se compose d’un corset blanc au liseré marron, il retient magnifiquement bien ma poitrine, sans l’écraser ni la laisser se balader. Je ne porte rien dessous, ce qui fait qu’une partit de mon ventre est visible. Les manches sont séparées du reste de la tenue, libérant mes épaules et dévoilant encore d’avantage ma peau si magnifique. Le corset a des froufrous au niveau des hanches. Plusieurs bandes de tissus bleu à liseré or flottent autour de moi, donnant un côté aérien à une tenue déjà très légère. Ils sont attachés à un buruma bleu à dentelle blanche. Des jarretières retiennent des bas blancs, c’est dernier affinant mes longues et belles jambes. Des souliers, eux aussi blanc, vienne me chausser. Pour compléter le tout, je porte aussi un col bleu clair à liseré or. Je m’attache aussi un ruban à chaque corne, de la même couleur que mes ailes. J’ai aussi une chevalière à l’annulaire de la main droite, preuve de mon appartenance à l’ordre des Juge.

Spoiler:

* Description Mentale:

Quoi ? Maintenant je dois donner une description de ma façon de penser ? C’est simple, je suis altruiste, généreuse, pure, avec un petit côté angélique. Quoi encore ? Oui, bon, même pour moi, ce n’est pas crédible. Bon, alors, commençons.

Bien, je vais commencer par ce qui a fait que je suis devenue Juge de la Luxure, ma capacité de séduction avancé. En effet, je suis une succube. Et ce n’est un secret pour personne, les succubes doivent avoir des rapports avec des males pour leurs absorber leurs quintessences. Pour cela deux options. La première consiste à utiliser la magie. C’est simple et efficace. Pour ma part, je préfère la deuxième solution. La séduction pure et simple, sans aucun artifice magique. Je suis plutôt douée dans ce domaine-là. Ma meilleure méthode consiste à changer ma personnalité de manière à plaire à ma future victime. Je n’en dirais pas plus, après tout, un magicien ne révèle pas ses secrets, je fais pareil. Ma capacité de séduction n’est cependant pas la seule chose qui m’a fait devenir Juge. Il faut dire, j’aime la luxure sous toutes ses formes. Je ne m’étalerais pas d’avantage sur le sujet, je pourrais être tenté de passer à la pratique…

Sinon, que dire de plus. Tout mon être n’est pas seulement dévolu à ma condition de succube. Derrière les apparences volages de ma personnalité ce trouve un puits de connaissance, remplie tout au long de ces long siècles, ou millénaire, je ne sais plus. En temps normal, je peux paraitre démotivée, sans doute à cause de mon âge. Sinon, j’aime les défis divers et variés, tant que je n’ai pas à me mettre du sang partout parce que c’est salissant. J’aime aussi que l’on me résiste, ça m’amuse beaucoup de persévérer pour atteindre mon but. Que dire de plus. J’aime bien l’eau, c’est une substance agréable pour faire diverse chose. Il ne faut pas que j’oublie. Je suis aussi espiègle est j’aime au plus haut point embêter les personnes. Les placer dans des situations complexes et embarrassantes aussi. En plus, si je peux me délecter du spectacle, c’est encore mieux. Je pense que depuis le temps que tu m’entends parle, tu as compris que je suis narcissique. Et j’assume pleinement. Je pense avoir fait le tour. Si t’es pas contant, va te faire une omelette de dragon à crête, que je regarde le spectacle du ramassage des œufs.

* Histoire:

Bon, maintenant, tu veux que je te raconte ma vie. D’accord, assied toi je vais commencer. Il était une fois, il y a bien longtemps… Quoi encore ! C’est moi qui raconte, alors, je fais ça comme je veux ! Bien, où en étais-je ? Ah ! Oui ! Donc, il était une fois, il y a bien longtemps, dame Ginïa la succube se baladait allègrement dans une forêt sur Terre. En tournant autour d’un vieil arbre, la démone tomba nez à nez avec un démon. Cherchant à le séduire, la belle dame usa de toutes ses techniques afin de ravir le cœur du démon, et ce, même pour une nuit. Ayant échoué, la succube demanda au démon de ne lui révéler son nom que si elle arrivait à le séduire. Pour ce faire, le démon revint le lendemain, au même endroit. Le temps passait, les jours devenaient des semaines et les semaines des mois. Mais, jamais le démon ne donna son nom. Finalement, un an après leur rencontre, pour la première fois depuis leur premier regard, Ganïa révéla ses véritables sentiments à ce démon qui ne cessait de la repousser et de la tourmenter. Alors que la belle commençait à tourner les talons pour s’enfuir, la voie roque du démon s’éleva pour prononcer un seul et unique mot, « Néméroth ». La femme s’immobilisa, et lentement, se retourna. Un magnifique sourire illumina son visage. La légende prêtant que dame Ginïa et le démon majeur Néméroth vécurent heureux ensemble avec plein de petits démons. Pourquoi j’ai raconté cette histoire ? C’est simple, c’est mes origines, puisque c’est mes parents et surtout, j’aime cette histoire. Et puis, ça t’as occupé un petit moment, non ?
Comme je l’ai dit, j’ai un certain nombre de frères et sœurs, je ne suis même pas sur de me rappeler de tous. Mais, bon, c’était une partit amusante de ma vie. Mes premières manipulations ; mes premiers essaient amoureux, d’abord avec la magie des succubes, puis, sans... En fait, toutes mes premières fois, ou presque. C’était le bon temps, celui où l’on pouvait attaque notre père en groupe sans qu’il ne le prenne mal et cherche à nous tuer pour nous punir. Tsss, combien de frère j’ai perdu comme ça, je ne sais plus. Voilà que je deviens nostalgique. On va avancer dans le temps, pourquoi pas à la rencontre avec le chevalier noir, tient.

Donc, voilà. Il était une fois… Non, je plaisante. Bien, je dois avouer que je ne donnerais pas le nom du Chevalier Noir, ni celui de l’Inquisitrice. Le sortilège que j’ai tissé se briserait si je le faisais.

C’était une belle journée de printemps, le temps était magnifique et un vent frais rentrait dans l’auberge où je me trouvais. Il était presque midi quand je vis une demi-douzaine de chevalier rentrer dans le bâtiment. Bien sûr, j’avais fait en sorte d’être plus éblouissante qu’une femme de ferme, ce qui attira l’attention des hommes en armure. Bien vite, ces derniers me faisaient déjà des propositions pour l’après midi, voir, pour certain, la nuit. Alors que je m’apprêtais à accepter et à passer à table, le chef des chevaliers, un homme d’à peu près 25 ans, s’approcha de la table où nous nous trouvions et fit la morale à ses hommes.  Il était beau dans son armure noire, sa cape noire dont l’intérieur était rouge lui donnait l’impression d’être un prince. C’est cheveux en bataille d’un noir de jais agrémentait à merveille ses yeux rubis. Il avait tout pour plaire. Pourtant, selon la rumeur, il n’avait ni compagne, ni enfant, et ce, malgré une liste de prétendante assez longue. J’étais vraiment intrigué par ce jeune homme qui rappelait ce qu’était la chevalerie à ses hommes. A tel point que, lorsqu’il eut fini, je le suivis en laissant les bougres en armures derrière moi. Une fois dehors, je me serais crue dans un conte de fée d’humain. Les arbres aux jeunes feuilles ondulaient sous un vent léger, le soleil à son firmament entourait le chevalier d’un halo surnaturel qui le rendait encore plus attirant. Pour la première fois, je comprenais pourquoi ma mère avait insisté aussi longtemps auprès de ce vieil arbre. Et, je fis de même. J’ai commencé par me présenté, sous une forme humaine. Il ne semblait pas intéressé outre mesure, mais, j’ai insisté. Au fur et à mesure de nos rencontres, plus ou moins fortuite, je commençais à ressentir de plus en plus d’attirance pour lui. Un comble pour une succube. A mon grand bonheur, l’inverse était réciproque, au point qu’un jour, je fus invité au château par ce preux chevalier. Après un somptueux repas à la table du compte local, je fus conviée dans les appartements de mon doux prince. Cette nuit fut l’une des plus belles de ma vie. Et, il y en eu d’autre. Cependant, à cette époque, la guerre était monnaie courante. Mon preux chevalier fut désigné pour mener les hommes au combat. Je suivis discrètement l’avancé de l’armée en faisant n sorte de ne pas me faire prendre. J’espérais de tout cœur que rien ne lui arriverais. Mes attentes étaient vaines. Le chevalier de mon cœur tomba au combat. Avant qu’il ne meure, je le tirais loin du charnier pour exécuter un rituel. Ce dernier me permettrait de le sauver, mais, il serait mon esclave tant que je serais en vie. Une fois le rituel fini, je vis le corps de mon bien-aimé disparaitre en poussière. Je m’enfonçais plus profondément dans la forêt pour l’invoquer, mais, rien. J’y ai passé deux jours entiers, sans aucun résultat. Je fini par tomber exténuée. A mon réveil, il était là, avec, dans son dos, le soleil, lui donnant l’apparence surnaturel qu’il avait à notre rencontre. Ce jour-là, je lui révélai tout, ma nature, mon nom, tout. Il accepta ce que je suis et me jura fidélité éternel. Même si cette histoire remonte au Moyen-Âge, quand j’ai besoin d’une présence ou quand je me sens en danger, je fais appel à lui. Pour moi, c’est devenu naturelle de me reposer sur lui.

Bien, on avance de quelques siècles. Je ferais bien le coup du « il était une fois », mais, ce ne serais plus amusant. Nous voici durant l’époque ou l’Europe subissait de plein fouet la grande inquisition Catholique. Il ne valait mieux pas être autre chose, encore moins un démon, surtout si l’on se faisait prendre. Ce contexte ne m’a pas empêché de me nourrir convenablement, j’ai dû cependant changer certaine de mes habitude. En effet, je me suis rendu compte que j’avais une personne qui me donner la chasse, l’Inquisitrice. Autant dire que j’ai fait profil bas. J’ai changé ma manière de chasser, fait en sorte que mes victimes survivent à une rencontre avec moi et pensent qu’elles étaient juste malade, changer de villes de manière régulière et changer d’apparence, mais, rien n’y faisait, elle me retrouvait toujours. Son intelligence m’a beaucoup surprise, ses capacités de déduction aussi. J’en suis presque venue à l’admirer. Et, pour ne pas arranger les choses, elle était plutôt mignonne dans son armure blanche et noir, sa longue chevelure doré volant au grès du vent, encadrant un mignon petit visage dont les yeux étaient tel deux saphirs. Autant dire qu’elle était mignonne à croquer. Je l’aurais bien croqué, si elle n’avait pas cherché à me tuer. Alors qu’elle avait réussis à me piéger et quelle s’apprêtait à me donner le coup de grâce, je lui fis comprendre qu’elle m’avait sous-estimé. Pour la première fois depuis qu’elle me traquait, j’ai repris ma forme démoniaque, et, j’ai invoqué mon Chevalier noir. Il fut facile de la capturer, cependant, dans l’affrontement, elle m’avait blessé, rien de grave, mais, elle avait surtout blessé mon orgueil. Pour la punir, j’ai fait la pire chose que l’on puisse faire à une fanatique : en faire la servante de l’ennemie de son dieu. C’est-à-dire moi. Et pour lui faire comprendre qui était le maître désormais, j’ai forcé son invocation et je m’en suis servi pour détruire la cellule inquisitoriale que j’avais au postérieur. Je sais, je suis diaboliquement diabolique. Elle ne m’a plus adressé la parole jusqu’à il y a moins d’un siècle. Comme quoi, toute fanatique qu’elle est, la présence d’une démone vaut mieux que l’enfer de la solitude.

Les années passèrent, les unes après les autres, et moi, je restais. J’allais où je voulais, je n’avais aucune contrainte. Jusqu’à il y a une dizaine d’année en tout cas. A ce moment-là, j’appris que des démons s’étaient réunis pour former un jeu mettant en scène des êtres de tout horizon et de tous types. « Quoi de mieux pour s’amuser », me dis-je. Je me suis donc dirigée vers ce petit village de Transylvanie. Une fois sur place, je me mis au travail. En effet, la quintessence d’une personne est toujours différente de celle de son voisin. Et, « les héros » ont l’une des meilleurs qui soi. Je me mis donc à traquer les dits « héros », en évitant de les tuer. Après tout, si je peux me resservir plus tard. J’eu d’ailleurs un accrochage un jour, une jeune arrivante à qui j’ai fait des propositions qu’elle a mal pris. Elle a même voulu me tuer, mais bon, je ne suis pas née de la dernière pluie, j’ai facilement esquivé et un combat commença. J’ai préféré « disparaître » avant l’intervention des Juges, on savait jamais avec les précédent. Ils étaient un peu trop fier, et sur d’eux, ils l’ont compris à leurs dépens d’ailleurs.

J’ai eu l’occasion de revoir la jeune fille qui m’avait attaqué sans raison valable. Elle s’était attiré des ennuis auprès de démons. Du haut du toit au je me trouvais perchée, j’ai invoqué le Chevalier Noir pour l’aider. Ce dernier commença par envoyer une des lames de vent tranchante comme il a le secret vers le premier démon, qui fut coupé en deux dans la longueur. Il se téléporta ensuite derrière l’idiote et bloque une attaque avec son gantelet gauche et embrocha le propriétaire de la lame. Le carnage dura pas longtemps, les quelques survivant se dispersaient rapidement. Je me décidais donc à quitter mon perchoir pour me poser sur l’épaule gauche de mon preux Chevalier, qui lui faisait face. En pointant mon index vers la nouvelle, je lui lançais de la vois avec laquelle je la draguais avant : « Je t’interdis de mourir avant que je n’ai pu m’amuser correctement avec toi». On est devenu ami après cette nuit, Irina et moi. J’allais oublier un truc important, ça fait quatre ans que je suis Juge de la Luxure, le précédent ayant trouvé le moyen de se faire avoir, j’espère juste qu’il y a pris du plaisir avant d’y rester.







* Sphères de départ: 10 sphères d'esprits

* Votre armement: Je suis une succube qui déteste se recouvrir de sang. C'est sale et en plus, c'est barbare. Cela dit, j'ai beau être sans arme, il me reste quand même mes crocs et mes griffes de succube, sans compter ma queue, qui fait un bon fouet, ou un bon système d'étranglement, au choix.

* Vos pouvoirs:

Absorption de vie : Et oui, je suis une succube. J’ai besoin de me nourrir. Cette technique me permet de capturer la quintessence des hommes afin de m’en servir de nourriture. Je n’ai pas atteint un tel âge juste comme ça. En plus, j’ai appris à me contrôler, je ne tue plus forcément ma victime. Ce sort ne fonctionne pas sur les femmes, dommage...

Polymorphie : Ce sort me permet de changer d’apparence. En effet, les humains n’aiment pas me voir me balader avec des cornes, des ailes et une queue. Ce sort règle le problème. Il me permet en prime de pouvoir modifier d’avantage que mes attributs démoniaques. Et oui, ce n’est pas donné à tout le monde de pouvoir changer totalement d’apparence quand on le veut. Mais, moi, je peux. Et puis, quitte à ce que ma victime y reste, autant qu’il passe la nuit avec une créature qui ressemble le plus possible à la perfection à ces yeux. Sans compter les innombrables possibilités de séduction que ce sort permet de débloquer.

Nyctalope : Non, je ne suis pas une salope… Juste une femme aux mœurs légères. Mais, cela n’a rien à voir avec ce pouvoir. Ce dernier consiste juste à voir la nuit, rien d’autre.

Rotative Heart : Sa, par contre, ce n’est pas un sort, mais, plutôt une technique de combat. Elle est très simple en plus. Il me suffit juste de faire un tour sur moi-même et de frapper mon adversaire avec la partit en forme de cœur de ma queue. En général, j’évite, ma queue est assez sensible.

Invocation de serviteur : Là, on rentre dans le vif du sujet. Mes serviteurs. Pour le moment, ils sont aux nombres de deux. Rendu docile grâce à la magie d’invocation, ils gardent malgré tous leurs caractères. Ils me servent à remplir plusieurs tâches. La première, c’est de me défendre. La deuxième me permet d’avoir beaucoup de temps libre. Il me suffit d’envoyant l’un d’entre eux à ma place, généralement, dans les affaires concernant mon rôles de Juge. Mais, uniquement celle qui ne requière pas ma présence explicite. Ils ont aussi une fonction plus personnelle, mais, ça, je le garde pour moi. Par contre, à mon grand malheur, je ne peux invoquer les deux en même temps. Un seul me ponctionne une grande quantité de mana. C’est dommage, cela aurait été amusant, une soirée à trois. De plus, une fois invoqué, je n’ai plus assez de mana pour pouvoir lancer un sort, ce qui m’oblige à me retirer.







* Comment avez vous découvert ce forum?
Je suis Suigintou Rozen de GNG

* Voulez-vous une chambre dans l'Auberge?
Non merci. Je préférerais une chambre dans la tour des Juges avec une fenêtre donnant sur le lac. Si possible luxueuse, la chambre, je suis coquette.

Bonjour Isadora !

Très belle fiche de présentation que je vais de suite noter.
Histoire : S.
Description Physique : S.
Description Mentale : A.
Pouvoirs : A.

Note Globale : ... J'hésite... Non je déconne, S.

Tu es pour moi acceptée en Juge, sans le moindre doute. Je te réserve le 7e étage ?
Sinon que dire de plus ? C'est complet, précis, amusant à lire, ce que j'aime quoi x)

Et dernières choses, tes pouvoirs sont parfaitement gérés, malgré la puissance de ces invocations tu as émis des conditions ce qui me plaît énormément.
Validation après le passage d'un confrère.

Tendit que la mort approchais, une demande particulière venais a lui.

En tant qu'ange de la mort j’approuve votre fiche belle succube. Prenez dont vos quartiers et bienvenue dans les Dévils game