Direction, septième ciel! [NC-18]

Visiblement, ma collègue s’est déjà installée. Tant mieux, on gagne du temps comme ça. Quoi que.

-Merci à toi, Isadora. C’est gentil à toi.

Pourquoi porte-t-elle encore son armure ? Elle veut peut-être faire un jeu qui consiste à lui retirer de façon… amusante. J’adore cette idée !

-Tu pense qu’ici ce sera suffisant pour me faire ce massage ? Ou préfères-tu discuter un peu avant ?
-Je peux t’assurer que le canapé est très confortable, pour l’avoir utilisé à de nombreuse reprise. Le tapis aussi d’ailleurs, le canapé est un peu petit, je suis déjà tombée et me suis retrouvée à continuer dessus. Sinon, il y a mon lit dans la pièce d’à côté. C’est plus confortable et il y a plus de place. Sans compter la vue magnifique sur le lac. Mais, si tu veux, on peut commencer par discuter, ça ne me pose aucun problème. On peut aussi faire les deux en même temps. Je te laisse choisir, tu es mon invitée.

Je suis allée me chercher un verre de vin au buffet, le temps qu’Aji choisisse l’option qui lui convient le mieux. Je pris mon temps pour me servir, puis je me suis retournée tout sourire. Je me dirige vers le canapé en ramenant la bouteille de bon vin avec moi. Je prends soin de m'asseoir le plus près possible de ma collègue.

- En veux-tu encore ? J’ai d’autres bouteilles, alors, ne te gêne surtout pas. Alors, dit-moi, qu’as-tu décidé au sujet de notre réunion à mon étage ?

Regardant sa consoeur, Aji se contenta pour le moment de se resservir un verre de vin avant de se tourner vers Isadora. D'ailleurs, cette dernière était quasiment collée contre elle, ce qui ne faisait qu'amuser un peu plus la juge de la luxure qui but une gorgée de vin avant de poser son verre.

"Honnêtement, parler n'est pas un de mes passe-temps favoris." Dit-elle, tandis qu'elle retira ses gantelets et les posa sur la table basse avant d'en faire de même avec les épaulières. Le reste elle ne le retira pas tout de suite.

Observant la succube, Aji posa sa main sur la partie dénudée du ventre de la succube, avant de faire glisser sa main jusqu'en haut, au niveau du cou.

"Mais si tu tiens à me demander quelque chose, n'hésite surtout pas."

Cette fois-ci, ce fut la juge de la colère qui se colla davantage à Isadora, sa main se déplaça du cou vers la joue qu'elle caressa doucement. Leurs visages étaient très proches également, mais cette fois, Aji allait s'amuser à torturer un peu sa congénère, reculant son visage lorsque celui de la juge de la luxure tentait de s'approcher.

"Allons, pas si vite. On a tout notre temps."

Pour la suite, elle allait laisser faire Isadora. La laisser lui retirer son armure ? Pourquoi pas. De toute façon il lui resterait encore ses autres habits en dessous. Tandis que de l'autre côté, il serait rapide de tout retirer à Isadora, peut être même trop vite. Valait mieux prendre son temps.

-Tu m’as surprise, je pensais que ce serait plus… riche en décorations et autres frivolités, digne d’une personne dévorée par la luxure. Mais ici, tout est simple, bien comme il faut… et j’aime beaucoup. Tu as bon goût, Isadora.
-Ce n’est pas parce que je suis la Juge de la Luxure que je suis obligée d’en faire de trop. Trop tue le charme, et j’aime charmer mes visiteurs. Enfin, c’est mon point de vue. Et je suis ravie que mon étage te plaise, même si tu ne l’as pas visité dans son intégralité.

Un joli sourire avec mes propos, pour un peu plus de charme. La main d’Aji quitta, à mon grand regret, ma joue pour aller se placer, à mon plus grand plaisir, juste sous ma poitrine. Pour compléter de me charmer, ma collègue fit glisser sa main sous mon corset. Sa peau contre ma peau, un véritable délisse pour la succube que je suis. Je me rapproche encore d’avantage d’elle. Et ce n’est pas fini, ma partenaire rapprocha ses enviable lèvres vers les mienne, se contenta de les frôler pour les ensuite diriger ses délicates lèvres vers mon cou. Le souffle chaud de la représentante de la Colère me fit frissonner de plaisir. Je sentis à nouveau un plaisir immense en sentant le contact délicat et humide d’Aji sur ma peau délicatement soigné.

-A mon tour. Est-ce que tu aimes mêler plaisir et douleur ?
-Je ne suis pas contre, je te laisse faire.

Aji descend de plus en plus le long de mon cou. C’est délicieusement agréable. Une fois sur l’épaule, elle se mit à mordiller, puis, intensifia le tout. Je sens que je vais craquer si elle continue comme ça… En plus, elle commence à me retirer ma tenue. Pour le moment, juste une de mes manches, mais, je ne pense pas que le reste va tarder. Elle veut me dominer, et moi, je me laisse faire, mais, c’est si bien comme ça… Du bout des doigts, j’arrive cependant à progressivement retirer les lanières de cuir du plastron d’Aji. Je vais même bientôt pouvoir lui retirer complétement. Plus qu’une, aller, plus qu’une… C’est bon ! Ma partenaire rapproche à nouveau sa bouche de la mienne.

-Ne tarde pas trop Isadora. Il te reste encore mon massage à faire après.

Pour seule réponse, je souris encore d’avantage. Je retire la cuirasse de la dame, d’abord, celle de devant que je pose délicatement, puis, celle de derrière. Sans prévenir, je me laisse tomber à genou, au pied d’Aji. De là, je commence à retirer la première des grèves de ma partenaire de soirée. Doucement, délicatement. Je prends le temps de la retirer, je la laisse prendre goût à sa domination sur moi. Je ne sais pas si elle aime ça, mais, je continue avec l’autre jambe. Encore, doucement, délicatement. Une fois ma tâche fini, je remonte vers les hanches de la demoiselle. Avec le plus grand soin, j’entreprends de défaire les dernières pièces de son armure. Je remonte mon visage jusqu’à presque toucher celui de mon homologue.

-Je n’ai pas oublié ma promesse, cependant, je t’offre un supplément que bien des personnes s’arracheraient. Si tu veux je peux abréger. Ce serait un peu dommage, mais, tu es mon invité, c’est toi qui commande, et moi, j’exécute.

-Je n’ai pas oublié ma promesse, cependant, je t’offre un supplément que bien des personnes s’arracheraient. Si tu veux je peux abréger. Ce serait un peu dommage, mais, tu es mon invité, c’est toi qui commande, et moi, j’exécute.

Aji sourit en l'entendant, un supplément hein ? Par contre elle devrait juste rectifier un peu le reste. En attendant, elle avait laissée faire la succube qui l'avait enfin débarrassée complètement de son armure.
Prenant son temps, Aji retira l'autre manche de la démone avant de poser ses mains sur son torse, la poussant doucement pour qu'elle finisse le dos allongé contre le canapé.
La juge de la colère, prit un des pieds de la succube et lui retira son soulier avant d'en faire de même avec l'autre.

"C'est trop d'honneur, mais tu sais, je vais te demander une petite chose."

Se penchant et s'avançant au dessus de sa consoeur, Aji détacha les jarretières retenant les bas blancs des jambes de la démone de la luxure, avant de lui retirer ces derniers l'un après l'autre, doucement, caressant la peau de ces jambes mises à nu, y déposant ses lèvres quelques fois pour procurer un peu plus d'excitation à sa partenaire, avant de se mettre au dessus d'elle, le visage proche de celui de la démone, avant de glisser sa bouche près de son oreille.

"Je trouve que si il n'y en a qu'un domine, ce n'est pas trop amusant. Alors, n'hésite pas quand tu en sens l'envie et fais-le. Fais moi aussi ressentir ce que je te fais ressentir."

Se rapprochant encore un peu, Aji se mit à mordiller l'oreille d'Isadora, avant de descendre un peu plus et de continuer son petit jeu avec son cou.

"Mais d'abord, amène-moi dans ta chambre." Chuchota-t-elle à la démone.

Elle ne l'avait pas vu venir en effet. Mais Aji était plus que satisfaite de voir comme sa partenaire était capable de prendre les choses en main après le lui avoir demandé.
La succube l'avait laissée entrer dans sa chambre pour mieux la prendre par surprise et prendre la position dominante une fois qu'elles furent toutes deux allongées sur le lit.

-Chacun son tour.
"C'est bien, exactement ce que j'attendais de toi.

Voila que la juge de la luxure commença à défaire les vêtements d'Aji, ça restait assez timide tout de même aux yeux de la juge de la colère, du moins jusqu'à ce qu'elle sente quelque chose d'étrange se glisser sous ses vêtements et caressant sa peau.
Lorsqu'elle y porta son regard, Aji vit qu'en réalité c'était le queue de la succube qui s'était glissée, ce qui fit la fit sourire, d'autant que l'effet produit pour ce petit jeu d'ondulations sur son ventre provoqua en elle un effet qui lui plaisait beaucoup.

C'est alors qu'Isadora déploie ses ailes et fonce sur la partie supérieure du corps d'Aji, à la manière d'un prédateur avant de lui dénuder une des épaules de la représentante de la colère. Mais ce n'était qu'un début, car maintenant elle s'amusa à torturer à son tour le cou d'Aji, qui ne put s'empêcher de soupirer de plaisir en sentant les dents et la langue d'Isadora lui caresser la peau.
Aji se sentait toute chose maintenant, elle sentait une chaleur folle l'envahir, et pourtant ce n'était que le début pensa-t-elle, tandis qu'elle mis une de ses mains sur son visage, tellement elle appréciait le traitement que la succube lui infligeait.

Pourtant, il ne fallait pas qu'elle reste la à se laisser faire. Avec son autre main, la juge de la colère caressa à nouveau le ventre d'Isadora, mais cette fois-ci, elle prit le temps de défaire le corset de sa consoeur, elle défit le noeud et désérra le vêtement jusqu'à ce qu'elle puisse le faire glisser et tomber jusqu'à la taille, dévoilant au passage la poitrine de la juge de la luxure.
Aji fit passer sa main sur visage, sur la nuque d'Isadora pour la faire reculer et la faire se redresser tandis qu'elle enlaça le corps de la démone avec son autre bras et en profita pour se redresser à son tour.

Le visage à la bonne hauteur, Aji embrassa un des seins d'Isadora, lui faisant aussi ressentir la sensation de ses dents le mordillant tendrement tandis qu'elle fit glisser la main se trouvant sur le nuque d'Isadora sur le visage de cette dernière,le caressant délicatement avant de passer au cou, sur la poitrine, le ventre, avant de s'arrêter sur la dernière pièce de vêtement qu'il restait encore à la succube, ou elle exerça une petite pression constante avec ses doigts.

"Isa, ne te laisse pas faire si facilement." Dit-elle simplement,elle voulait que sa partenaire corse un peu le jeu.

Elle savait qu'Isa se ferait un plaisir de faire ce qu'elle lui disait, mais la elle n'avait rien vu venir. La succube l'avait complètement dominée cette fois.
Elle avait du mal à réfléchir, Isadora lui faisait subir un supplice si délicieux à ses sens qu'elle avait envie de s'y abandonner pour de bon.
Prenant le visage de sa consoeur entre ses mains, elle l'attira à elle afin d'intensifier davantage ce baiser. Cette sensation, ce goût, ces lèvres étaient sublimes et elles envoutaient à elles seules Aji qui peinait à étouffer ses gémissements de plaisir. Pourtant, la juge de la colère ne voulait pas que la situation reste ainsi, elle voulait reprendre la position dominante ici.
Brusquement elle retourna les positions et se retrouva au dessus de sa consoeur, saisissant les poignets de cette dernière avec ses mains et les maintins sur le lit.

Elle observa la démone de la luxure avec une expression et un oeil presque inquisiteur, elle voulait bien voir ce visage. Mais rester concentrée était difficile, la queue de la démone continuant son jeu sur sa partie sensible, Aji ferma les yeux, tentant de se contrôler, mais elle ne parvint pas à retenir un gémissement indiquant le plaisir qu'elle ressentait.
Non, non, c'était encore trop tôt pour en arriver à ce stade. Avec regrets, elle plaça un des poignets d'Isa sous son genoux afin d'avoir la main libre aller saisir ce coeur qui mettait son corps et ses sens ébullition et l'éloigna de son intimité.

"Trop tôt."

Cependant, la juge de la colère voulait à nouveau subir un certain supplice, amenant à elle l'autre main de la succube, celle qui avait les griffes déployées, elle l'amena sur sa joue. Défaisant alors entièrement sa veste et sa chemise, la jeune démone les retira afin de laisser la main griffue de la succube se déplacer sans obstacles sur son corps. Elle savourait ce qu'elle ressentait, la douceur de la caresse de sa peau, et la douleur que lui infligeaient les griffes. Un mélange de sensations qui plaisait infiniment pas à Aji qui libéra l'autre main d'Isa pour qu'elle fasse de même que la première.
A mesure que cela s'intensifiait, la juge de la colère fit un sourire, presque celui d'un fou qui savourait qu'on le torture, ses yeux étant caché par une de ses mains. Elle finit par lâcher un rire qui signifiait tout le plaisir qu'elle ressentait.

"Plus fort." Dit-elle avec plaisir. "Vas-y plus fort."

Libérant son regard de sa main, Aji posa cette dernière sur la joue d'Isadora et la fit passer sur tout le visage de la succube, voulant sentir toutes les formes du visage de cette dernière, avant d'arrêter le bout de ses doigts sur les lèvres de la succube.
Aji se pencha alors et embrassa à son tour Isadora, un baiser qui fut au moins aussi délicieux et savoureux que le premier. Séparant sa bouche de celle de sa partenaire, la juge colérique laissa ses dents mordre la peau de la succube, la joue, le cou, la poitrine. Ses mains en faisaient de même sur le corps de la juge de luxure. La douleur et le plaisir, c'était une véritable fusion de sensations, une extase pour Aji. Aussi comptait-elle en faire profiter sa camarade.

Cependant, la jeune demi-démone descendit de plus en plus bas sur le corps de sa camarade, atteignant son bas ventre ou elle continuait de caresser des lèvres, et de mordre la peau très sensible à cet endroit.
Enfin, elle arriva face à l'intimité de sa partenaire, toujours recouverte d'un sous-vêtement. Elle avait une idée de supplice très précise, et pour cela, après avoir retiré cette dernière pièce de tissu présente sur le corps de la démone de la luxure, Aji saisit fermement les mains de cette dernière pour l'empêcher de bouger.

La juge de la colère put enfin s'occuper de sa cible, y déposant des baisers tout autour, tendrement et délicatement, ne prêtant attention à rien d'autre. Après en avoir fait tout autour, elle déposa un autre baiser directement sur la partie sensible d'Isadora, la laissant savourer avant de développer le supplice, d'abord en la titillant avec le bout de la langue, puis en la caressant très lentement avec plus de surface de cette même langue qu'elle finit par faire légèrement entrer dans l'intimité d'Isa.
Souriant, elle serra l'intimité de la succube en ses dents et la mordit un peu à son tour. Elle alterna ces petits supplices pendant un petit moment avant de remonter et se retrouver de nouveau face au visage d'Isa.
Aji finit par s'allonger complètement sur la démone. Ce contact des corps provoqua un frisson à la juge de la colère qui embrassa directement sa compagne de nuit avant de la regarder avec attention dans les yeux.

"Eh dire que tu ne m'as même pas entièrement déshabillée. Et tu voulais déjà passer au dessert ? N'es tu pas un peu trop gourmande ma chère Isa ?" Dit-elle en lui caressant le visage et les cheveux.

Elle s'était amusée,elle avait entendu la succube gémir sous ses supplices, et cela avait un effet délicieux lorsqu'elle l'entendait. Aji était surprise, elle prenait plaisir à tous ces petits jeu bien plus qu'elle ne le pensait, et la compagnie d'Isadora lui était incroyablement agréable. Ce devait être du au fait qu'elle soit une succube et rien d'autre, valait mieux qu'elle se surveille.
Alors qu'elle y pensait, la succube en question venait de lui retirer son pantalon avec l'aide de sa queue et de ses pieds avant de prendre à nouveau la position dominante.

C'est alors que sa compagne de nuit descendit vers son intimité, commençant d'abord par lui lécher l'intérieur des cuisses avant de remonter vers la partie du corps de la juge de la colère qu'elle visait. Sentant les baisers, la langue d'Isa, et même les griffes de cette dernière torturer aussi superbement son intimité, Aji avait les mains sur son visage.
Ce traitement la mettait dans tous ses états, Isadora savait maintenant parfaitement comment la pousser à bout en très peu de temps, et elle le faisait avec une efficacité redoutable. La juge de la colère n'en pouvait plus, elle se mit à gémir de plaisir, et au fur et à mesure, elle le fit un peu peu plus fort à chaque fois, malgré ses efforts pour se retenir.

Ce calvaire délicieux prit fin un petit moment plus tard, le visage d'Isa apparaissant au dessus de celui d'Aji, l'observant alors que la juge de la colère était complètement sous le choc de ce qu'il venait de lui arriver et qu'elle n'arrivait à bouger qu'avec peine.
Mais la juge de la luxure ne semblait pas en avoir fini avec elle, loin de la.

-Il est temps de passer au plat principal. Fais-moi confiance, tu ne vas pas le regretter.

Isadora prit son temps, elle se plaça au dessus d'Aji comme elle le souhaitait avant de s'allonger sur cette dernière, provoquant un frisson intense et agréable au contact de leur peau.

-Ais confiance en moi.

Isa plaça une main sur la poitrine d'Aji tandis qu'elle plaça l'autre sur la nuque pour l'attirer vers elle et l'embrasser. Et ça ce n'était que le début, car maintenant, Aji sentait que la queue de la succube venait de coller contre leurs intimités respectives avec de commencer à frotter, provoquant une nouvelle montée d'excitation dans le corps de la juge de la colère. La température augmentait rapidement.
Oh bon sang, si ça continuait comme ça, elle ne tiendrait pas longtemps avant de céder complètement à Isa, déjà que c'était dur de se retenir de gémir, malgré le fait que les deux femmes s'embrassaient passionnément.

Elle le sentait, Isa ne voulait pas s'arrêter de l'embrasser, et elle non plus. Elle se sentait de plus en plus attirée par la succube, elle se sentait tellement bien avec elle.
Mais Aji ne voulait pas que ça reste comme ça, c'était trop tôt beaucoup trop tôt pour finir déjà. Elle saisit la main qui lui massait la poitrine et l'écarta. Elle avait énormément de mal à décider de la suite. Elle était sur le point de sombrer et de se laisser aller.
Prenant alors appui sur ses jambes, Aji fit à nouveau basculer les positions, se trouvant sur Isadora, mais toujours autant collé contre elle. Ah ça non, elle adorait ça, et elle n'avait pas non plus envie d'arrêter de l'embrasser aussi.

S'appuyant sur ses genoux, Aji éleva son corps un peu au dessus de celui d'Isa, et saisit le la queue de cette dernière par le coeur. Aji l'appuya contre l'intimité de la succube et se mit à frotter. Elle sentait que l'appendice se débattait, mais ça ça ne servait à rien, la juge de la colère avait bien l'intention de faire subir ce supplice à Isa, et elle prendrait un malin plaisir à le lui faire avec sa propre queue.
Et malgré cela, elle sentait que son esprit sombrait, elle n'allait pas tarder à en devenir plus bestiale. Laissant le coeur ou il était, Aji prit les mains d'Isa dans les siennes, entrelaçant leurs doigts, puis elle les plaça sur la lit de chaque côté du corps de la succube.
Rompant alors le baiser, Aji gardait les yeux fermés.

"J'aime..." Dit-elle. "J'aime ce que tu me fais, j'aime tout en toi..."

Ne laissant pas le temps à Isa de répondre, Aji l'embrassa de plus belle, c'était passionné, mais également plus pressant et gourmand. Elle commença alors à frotter son buste contre celui de la succube, de quoi augmenter encore plus vite la chaleur qui régnait entre elles.
Aji rompit le baiser et commença à embrasser et mordiller Isa dans le cou, se montrant féroce et vorace, et ne s'arrêtant que rarement.

"Je... je te veux... "

Aji avait complètement cédé à ses envies, et elle le montrait en s'attaquant au corps d'Isa, la manière d'un prédateur affamé. C'est alors qu'elle s'arrêta subitement, comme si elle venait de retrouver ses esprits, ce qui n'était pas le cas.

"Aime... aime-moi."

-Je t’aime Aji.

Aji se figea tout de suite après. Avait-elle bien entendu ? Oui, Isa venait de lui dire qu'elle l'aimait. Une déclaration qui laissa la juge interdite, du moins jusqu'à ce qu'elle entende à nouveau sa compagne de nuit lui parler.

-Aji… Je te réserve une surprise, alors, s’il te plait, arrêtons de jouer chacune dans son coin, et, fessons nous plaisir à deux. Reviens sur moi, et, aimons-nous l’une l’autre.

En voyant Isa sourire, Aji se sentit fondre presque immédiatement. Elle ne fit aucun geste ou aucune tentative lorsque la succube se releva brusquement pour l'embrasser et l'emprisonna entre ses jambes, une sensation étrange, et étrangement très agréable. Aussi répondit-elle sans hésiter au baiser d'Isa.

-Ensemble Aji. Plus de petit jeu en solitaire. Ensemble…

Encore une fois, ce fut ce petit jeu avec la queue qui leur faisait ressentir un plaisir, commun et très intense. L'esprit d'Aji avait déjà sombré tout à l'heure, et ce côté bestial en elle réclamait toujours plus de ces sensations fortes.
Des sensations que ressentirent les deux femmes durant un long, très long, moment.
Lorsqu'elles avaient fini, elles étaient toutes deux quasiment hors d'état. Aji transpirait, elle peinait à faire ne serait-ce qu'un geste. Cependant, elle était parfaitement satisfaite, se sentant à nouveau lucide, et fatiguée.
Isa de son côté, fini par se lever et quitter le lit. Qu'est ce qu'elle faisait ?

-Aji d’amour, tu peux te mettre sur le ventre s’il te plait, je t’amène le dessert.

Bien qu'elle ne comprenait pas ou Isa voulait en venir, Aji s'exécuta et se mit à plat ventre sur le lit. Elle resta ainsi et ne bougea pas du tout, elle se sentait trop fatiguée pour faire autre chose de toute façon.
D'un seul coup, elle sentit quelque chose s'installer sur ses fesses, regardant, elle vit que c'était le juge de la luxure qui s'était installée sur elle.
Est ce qu'elle comptait remettre ça ?

-A l’attaque !!!

Tout à coup, Aji sentit les mains de sa partenaire s'abattre sur son cou. Elle venait enfin de comprendre, elle aurait finalement droit à son massage.
Un massage tout à fait spécial, car Isa lui appliqua le traitement sur tout son corps, ce qui fit rougir la juge de la colère qui n'avait d'autre choix que de subir le traitement délicieusement agréable.
Quand ce fut malheureusement fini, Isa enlaça à nouveau Aji, l'emprisonnant presque à nouveau avec son corps.

-Bonne nuit.

A... toi aussi, Isa. Dit simplement Aji avant de s'endormir à son tour.

Lorsqu'elle les rouvrit, le soleil s'était déjà levé, mais ça ce n'était pas ce qui intéressait Aji, regardant autour d'elle, elle vit le visage encore endormit d'Isa, proche du sien.
La juge de la colère sourit en la voyant, ça n'avait été un simple rêve, non. Elle enlaça le corps de la succube de ses bras et la colla entièrement contre elle. Elle voulait profiter du moindre contact physique de son corps contre celui de sa compagne.
Elle resta comme ça et attendit qu'Isa se réveille à son tour. Lorsque ce fut le cas, elle caressa la joue de la démone de sa main en lui souriant.

"Bonjour, Isa."

Aji approcha son visage de celui de la démone et déposa un baiser sur le front de celle-ci avant de la serrer à nouveau contre elle.
En fait, elle n'avait pas envie de bouger, rester ainsi, avec la succube, lui suffisait amplement. Mais rien n'est éternel comme on dit, aussi Aji allait-elle faire en sorte de gagner le plus de temps possible et en profiter.

"Ca te dérange si j'emprunte ta salle de bain ?"

Je rentre en vitesse dans ma salle de bain. D’un coup d’œil rapide, je vois que le jacuzzi a été rempli, mais, je ne devine ma collègue nulle part. Je me demande où elle a bien pu passer ? Elle a profité de mon absence pour partir d’ici ? Peu probable, j’ai encore ses affaires dans les bras et je doute qu’elle se balade nue dans la tour. Elle, je ne pense pas. Moi, ça pourrais être possible. Mais bon, ça ne résous pas mon problème. Elle est où ? C’est en plein dans mes questions existentielles… ou presque… que je sens des bras serpenter autour de ma taille. Ces derniers se resserrent autour de moi, m’emprisonnant et me rabattant vers le prédateur qui m’a attrapé. Je me laisse faire, telle une souris attrapé par un chat. Je la sens maintenant se mettre sur la pointe des pieds pour poser sa tête sur mon épaule. C’est mignon les efforts qu’elle fait pour moi.

-Tu sais prendre ton temps pour te faire désirer. Laisse tomber ça.
-Le désir rend la chose convoitée encore plus délicieuse.

Elle récupère ses affaires pour le poser un peu plus loin. Aji me retourne sans sommation. Elle ne fait rien d’autre que de me regarder. Je sais que je suis mignonne, mais, quand même… Si elle veut juste me regarder, pas de soucis. Maintenant, elle me pousse doucement, c’est deux mains sur mon ventre. Je me demande ce qu’elle me veut. Finalement, je comprends lorsque mes fesses rentrent en contact avec le bord du jacuzzi. Je souris. Tandis que je défais mon peignoir et que je le laisse glisser le long de mon corps, ma concubine place son visage au niveau du mien. Elle va pour m’embrasser, mais, au dernier moment, change de cap et va embrasser mon cou. Elle recommence à me pousser, cette fois, je m’assois sur le rebord et je bascule pour rentrer dans l’eau. Cette dernière était chaude. J’adore ça. Je rentre avec un plaisir certain dans l’eau purificatrice. Je me laisserais bien aller ainsi, mais, ma partenaire en décide autrement. Elle se rapproche de moi et fini par me coller. Le contact de sa peau en plus de celle de l’eau me rend toute chose. Je sens une main se poser sur ma nuque. Elle me serre encore d’avantage contre ma concubine. Cette dernière se met à m’embrasser. Ce n’est pas moi qui vais me plaindre.

-Mon Isa.

Je regarde Aji. Comment expliquer au Juge de la Colère que, quoi qu’il arrive, je ne pourrais pas lui rester fidèle à cent pour cent. Bon, pour le moment, je n’y suis pas encore, j’espère juste qu’elle n’a pas vue que j’y ai pensé. Ce serait dommage de gâcher le moment présent avec des choses qui peuvent attendre. Je dessine un magnifique sourire sur mon visage et je chasse mes pensées.

-Ça te dit que l’on se lave mutuellement ?

Alors qu'elle regardait sa bien-aimée, Aji remarqua pendant quelques secondes que l'expression d'Isa avait changée, mais elle ne savait pas pourquoi. Peu importe.

-Ça te dit que l’on se lave mutuellement ?

"Si tu veux." Répondit Aji avec un sourire.

Passant sa main derrière la tête de la succube, la demi-démone se saisit du savon. Elle aurait pu prendre d'autres petites choses, il y avait du choix derrière, mais autant le faire graduellement, pour pouvoir s'amuser encore un peu.
Elle mouilla le savon et le frotta entre ses mains jusqu'à ce que ces dernières soient pleines de mousse. Laissant le sur le rebord, Aji posant ses mains sur le torse d'Isa et commença à frotter, doucement, délicatement, elle voulait prendre son temps et surtout laisser ses mains se balader sur la poitrine de la succube avant de passer aux épaules, puis au cou.

Se rapprochant, la juge de la colère embrassa à nouveau sa consoeur tandis qu'elle continuait ses douces caresses sur les bras de cette dernière.
Pourtant, Aji se sentait mélancolique, elle pensait juste passer quelques années ici pour le devils'games, elle n'avait jamais pensé qu'elle trouverait une personne qu'elle aimerait à ce point.
Rompant le baiser, Aji enlaça Isa et posa la tête sur l'épaule de cette dernière.

"Je ne pourrais jamais rester ici éternellement. Je repartirais un jour ou l'autre, mais... je suis tellement bien avec toi."

Aji resserra son étreinte sur Isa, comme si elle avait peur de la perdre déjà.

"Je voudrais, passer un maximum de temps avec toi. Parce que je sais que la ou j'irais, avec père... je ne te retrouverais jamais."

Aji avait presque envie d'en pleurer. Elle avait déjà parlée d'une voix triste, elle se sentait ridicule par rapport à Isa maintenant.

-Si tu veux.

Aji se mit donc à l’œuvre. Ce saisissant du savon, elle se frotta les mains afin de pouvoir par la suite l’appliquer sur ma douce peau. Ce moment de préparation et d’attente me rend à nouveau toute chose. Je n’eux pas à attendre longtemps pour que ma collègue passe à l’action. Elle commença à frotter mon torse, puis, ma poitrine, enfin, les épaules et le cou. Ses caresses sont douces et délicates. Elle cherche plus à me faire plaisir qu’à me laver. Ce n’est pas grave, j’aime ça et j’aurais fait pareille de toute façon. Quel régal de sensation. L’eau chaude, la mousse et la douce peau de celle que j’aime. J’en ai même baissé ma garde.

En effet, Aji s’est rapprochée pendant que je profitais de toutes ces agréables sensations. Cette dernière en profita pour m’embrasser à nouveau. Je lui rends son baiser. Ressentir à nouveau cette explosion de sensation et de sentiment, c’est un pur régal, je suis même prête à me damner pour que rien ne s’arrête. Mais, attend, je suis déjà une damnée. Je m’amuse intérieurement lorsque je m’aperçois que celle de mon cœur est sujette à la mélancolie. Je suis si mauvaise que ça ? Je ne crois pas. Ma concubine finie par rompre le baiser.

-Je ne pourrais jamais rester ici éternellement. Je repartirais un jour ou l'autre, mais... je suis tellement bien avec toi.

Je sens qu’elle me serre d’avantage dans ses bras, comme si elle cherchait à éviter que je ne lui glisse entre les doigts. Je suis touchée de voir de mes yeux un être si fort me porter autant d’attention.


-Je voudrais, passer un maximum de temps avec toi. Parce que je sais que la ou j'irais, avec père... je ne te retrouverais jamais.

Aji avait parlé d’une voix triste. Je suis toute émue maintenant. Mais, avant de montrer mes sentiments, je dois réconforter l’âme qui se trouve dans mes bras. Je commence par resserrer mon emprise sur elle, pour lui montrer que je suis encore là. Je continue en plaça ma tête sur son épaule, joue contre joue. Je commence alors à lui parler d’une voix douce.

-Tu sais, Aji, je ne pensais pas m’attacher beaucoup au gens quand je suis venu ici. Je ne m’attache pas aussi facilement que je ne le montre d’ailleurs. Mais, pour toi, c’est différent. Je me sens bien quand je suis avec toi. Peu de personne, quelques soit leurs races peuvent ce venter de cela. Toi, si.

Je fis une pose. Je réfléchi à que dire ensuite.

-Pour ce qui est de notre possible séparation, je suis sure que nos deux pères se connaissent. Ce n’est donc pas un réel problème. Je suis sure que mon père se fera un plaisir de t’inviter. Et puis, puis ce que l’on va être séparé à un moment donné, autant profiter du moment présent, non ?

Je ne lui laisse pas le temps de répondre que déjà mes lèvres se collent à nouveaux sur les siennes. J’ai en plus une idée en tête, Mais, je ne peux pas la mettre ne application maintenant, il me manque un objet précieux que j’ai perdu il y a bien longtemps. Dommage, il aurait pu régler ce problème.

Ce nouveau baisé langoureux me fit frissonner. Je m’attache beaucoup à Aji. J’en viens à me surprendre moi-même. Mais, comme toujours, ce plaisir cessa. Ma collègue rompit notre baisé pour, à nouveau, s’attaquer à la peau de mon épaule. Elle le fait avec tendresse et délicatesse. Un véritable régal. La douceur de ses lèvres ainsi que de sa langue me met toute chose. Si je n’étais pas déjà conquise, je craquerais. Après quelques minutes, elle décida de me mordre l’endroit maintenant anesthésié par ses câlins. Je n’ai d’autre choix que de me mordre les lèvres pour ne pas lâcher une complainte de plaisir. Je fais aussi vibrer ma queue sous l’eau et je retiens le mieux possible mes ailes afin qu’elles ne s’ouvrent pas subitement. Je ne veux pas blesser ma concubine maintenant, surtout de cette façon. Peu après, Aji se saisit de l’une de mes mains et glisse ses doigts entre les miens. Elle lâche aussi mon épaule pour se remettre en face de moi.

"Merci, Isa. Tu sais, tu es la deuxième personne à me montrer autant d'affection."

Aji me ré-embrasse. Elle me laisse perplexe sur la suite de la conversation.

"J'espère sincèrement que l'on pourra se revoir... et s'aimer comme il se doit quand nous ne serons plus dans ce monde."
-Je l’espère aussi, et je vais faire ce qu’il faut pour.

Décidément, je suis bien comme ma mère, quand je m’entiche d’une personne, je ne fais pas semblant. Même si elle est toujours avec père depuis bien avant ma naissance, et que ni l’un ni l’autre n’est allé ailleurs. Je n’imagine même pas la scène de ménage. Ça risque de déménager sévère. Mais bon, revenons-en à nos moutons.

-Es si après cet interlude émotionnel, on reprenait ce que l’on faisait à la base ?

Je suppose que la mine innocente ne trompe pas ma partenaire. Mais bon, je m’en fiche pas mal en fait. Je prends le savon pour m’en mettre sur la poitrine. Je m’en mets aussi sur mes mains. Une fois prête, je vais me coller contre ma concubine. Je plaque mes mains dans son dos, puis, je commence à gigoter de façon à ce qu’un maximum de contact et de friction se produise. J’espère qu’elle prend autant de plaisir à se contact prolongé entre nos de corps dénudé. Moi, perso, je prends mon pied.

Visiblement, ma petite idée eu l’effet escompté sur ma partenaire. En effet, je sens qu’elle se prend au jeu et qu’elle aussi commence à se frotter à moi afin d’accentuer les sensations. Au bou d’un petit moment de pur plaisir, Aji s’éloigna de moi.

 
"Mets toi debout."
 
Je m’exécute immédiatement. Je ne peux m’empêcher de me demander ce qu’elle me réserve. Et j’ai la réponse très vite. Ma concubine s’attaque à me laver délicatement mes jambes. Je prends grand plaisir au fait qu’elle prenne soin de moi, et encore plus quand elle cherche à me redonner le goût des événements de la veille. Si elle cherche à me faire fondre, elle est bien partit. Une fois qu’elle en eut fini avec mes jambes, elle se glissa derrière moi et commença à me nettoyer le dos. Elle se met à me mordiller l’oreille aussi. Je prends un plaisir certain à me faire ainsi traiter. 

J’étends mes ailes pour qu’elle s’en occupe aussi. Après tout, la peau de mes ailes est fine et douce, de quoi me donner d’avantage de sensation intéressante, de plus, la jointure entre mes ailes et mon dos est tout paritairement sensible, de quoi me faire facilement plier de plaisir. Et comme je suis une hôte douce, sensible et loin d’être égoïste, je savonne ma queue plus que de raison. Je la lâche puis, je la dirige vers ma concubine. De toute la dextérité de se membre particulier, j’entoure Aji à la taille, puis, tel un serpent, je fais remonter mon appendice vers sa poitrine, ne manquant aucun centimètre carré de peau de ma douce au passage. Je frémis déjà d’impatience pour la suite.