Seilas Singhär, l’orgueilleux

Carte D'Identité :

Nom : Singhär. (si quelqu'un pourrait changer mon pseudo et inscrire Seilas Singhär... merci !)
Prénom : Seilas.
Age : 1973 ans.
Sexe : Masculin.
Nationalité : Inconnue, ancienne surement.

Autres Informations :

Race : Démon.
Apparence Physique :

Mon apparence... Une suite de mots façonnés par des sons rauques ou aigus ne sauraient la décrire. Surtout si cette suite de mots n'est que l'image d'un piètre reflet. Car rien ne saurait égaler ma beauté, comme rien ne saurait la décrire, rien, mis à part moi même, évidemment.

Seilas est un homme grand, il mesure précisément 1 mètre 93 pour un poids de 73 kilogrammes. Une silhouette svelte marque son corps musclé et entraîné. L'allure d'un Dieu se dessine à chacun de ses mouvements et les pauvres mortels l'associent souvent à un Divin avant de mourir par ses mains fines et délicates et aux ongles constamment, j'ai bien dit constamment... manucuré.
Il porte au pieds, une paire de bottes de cuir sombres, noires, toujours propres. Elles montent jusque ses tibias lui laissant une mobilité parfaite, contrairement à des bottes plus hautes comme il en portait jadis, qui atténuait sa grande agilité. Son pantalon est un vêtement de soie grise, assez serré aux cuisses. À la taille il porte un simple ceinture de cuir brune perlé de différentes pierres précieuses, mais par-dessus la ceinture il revêtit aussi un long et épais foulard bordeaux noué à la taille, tout de soie aussi, bien évidemment.
Sur son torse se dresse une tunique brune, celle-ci à moitié ouverte découvrant des abdominaux et des biceps puissants. La tunique est fermé par des boutons de couleur doré. Tout la tunique est d'ailleurs marqué de cette couleur par des motifs élégants. Par dessus sa tunique, Seilas porte un gilet sans manche totalement ouvert. Ce gilet est fait de fourrure blanche constellé de quelques tâches noires, aucune fermeture n'est présente dessus et donc, n'est là que par simple décoration.
Sur ses épaules est accroché une cape de soie indigo dont les contours sont de la même couleur bordeaux que le foulard noué à la taille de Seilas.

Autour du coup de Seilas pend un pendentif magnifique. Une chaînette d'argent pur supportant un rubis d'une couleur éclatante, envoûtante... Ce rubis n'est pas anodin. La pierre précieuse abriterait en réalité en son sein, le sang de Seilas lui-même. Il appelle ce pendentif Nora, et il paraîtrait qu'elle renfermerait un pouvoir en elle. Réalité ou pure Fiction ?

Le visage de Seilas est d'un teint blanc pâle, toute marque rouge l'exaspère. Ses traits sont fins et délicats, sa peau est douce, agréable au toucher, elle est parfaite, sans aucune imperfection. Aucune cicatrice, aucune rougeur... Son menton est droit et assez pointu accentuant la forme fine de son visage. Ses lèvres sont d'un rose pâle. Elle sont très fines et expriment très souvent une indifférence totale ou alors un mécontentement, mais jamais elle ne forme un sourire ou le presque d'un sourire, mis à part lorsque l'on parle de la beauté de Seilas, bien entendu. Le nez de ce dernier est droit, ni trop long, ni trop court, il n'est pas gros et ne remonte en trompette, ne s'écrase pas en patate ou n'adopte pas une forme aquilin. Non ! Le nez de Seilas est parfait, comme tout chez lui d'ailleurs. Ses yeux... ses yeux. Petits, d'une lueur éclatante, d'un bleu azur semblable à des saphirs éclairés par le soleil. Ils ont l'air d'être omniscient, comme si il voyait tout à 360 degré. Aussi perçants, je vous déconseille de le fixer trop longtemps, à vos risques et périls tout d'abord et ensuite parce qu'ils ont l'air de vous mettre à nue au premier regard. Comme si il voyait au-delà de la chair, au-delà de la peau et de toutes matière définissant les mortels. Des yeux magnifiques et pour la plupart du temps inexpressifs. Ses sourcils se dessinent en un trait, ils prennent la même couleur que ses cheveux c'est à dire un nuance partagé entre l'indigo et le gris. Ils surlignent les yeux de Seilas, puis s'étirent longuement. Au dessus de ces derniers se dresse fièrement un front assez large et grand ne laissant apparaître pas la moindre ride sur celui-ci. Le temps ne s'applique pas à Seilas. Puis il y a ses cheveux, entre l'indigo et le gris, une couleur magnifique... Ils sont très longs, les dernières mèches lui arrivant presque au fesses. Ils sont mis en arrière hormis de longues mèches cachant une infime partie de son visage.
Caractéristiques Mentales :

Mon mental... Tout d'abord, je vous mets à l'épreuve pour le forcer. Pour le comprendre... Je vous souhaite bonne chance, vous qui osez entrez dans les méandres et les recoins spirituels de la splendeur de mon être !

Seilas est quelqu'un de difficile à cerner. Tout d'abord car il ne laisse à ses interlocuteurs aucun signe. En effet, il est totalement impassible, ne montrant aucune émotion, aucun sentiment à part évidemment celui de l'orgueil. L'orgueil... si il y a bien un mot pouvant définir son mental c'est bien celui-là. Tout en son être se rapporte à lui et doit se rapporter à lui autrement il en sera énervé. Une colère sans précédant. À croire qu'il n'y a que se personne qui compte en ce bas monde. Croyez moi, il n'y a que sa personne et uniquement la sienne qui l'intéresse en ce bas monde ! Si vous voulez au contraire le mettre dans ses humeurs les plus mielleuses et gracieuses il vous faudra alors complimenter, et honorer son humble personne par tous les moyens. Si vous pouviez aussi faire des sacrifices en son nom il apprécierait aussi, dit au passage.

Seilas hormis une impassibilité de fer et un orgueil au-dessus de tout est quelqu'un de très amical. Il est très courtois, détestant l'impolitesse. Il aime savourer la vie, vivre l'instant présent. Dès lors il déteste l'imprévu, la rapidité, le mystère, l'impossible, toutes ces choses il ne les aiment pas du tout ! Surtout quand une personne cherche à le presser ou le hâter. Seilas aime prendre son temps, faire ce dont il a envie et quand il en a envie. Dès lors, lorsque quelqu'un cherche à lui donner des ordres cela se termine le plus souvent en combat du style règlement de compte. Et oui, n'allez pas dire à ce bon monsieur quoi faire.

Ce bon monsieur adore les mots, la langue, les phrases, la poésie ! Il aime parler avec l'aisance de l'ancien temps, comme si il regrettait ce dernier, celui où il pouvait tuer sans peur et sans reproche. Désormais cela devenait de plus en plus difficile, mais ce n'est pas pour autant qu'il annihilait tous ses petits plaisir, oh ça non ! Il aime satisfaire les plus viles et les plus infimes de ses désirs. Tuer, aimer, soumettre... Il goûtait sans cesse à de nouveaux jeux qu'il trouvait amusant, car même si Seilas à l'air d'un vrai mur ne pensez pas qu'il n'a pas d'humour, ce serait totalement faux. Bien sur qu'il a de l'humour, peut être vous ne le comprendrez pas, peut être vous ne le verrez pas, mais quoi qu'il en soit sachez qu'il en a ! Minuscule peut-être, mais il existe tout de même...

Ce qu'adore Seilas, c'est la folie. Oui, la folie à l'état pur. Le moment de désespoir suprême que l'on peut lire dans les yeux d'un mourant. C'est un plaisir duquel il ne pourrait s'en passer. La folie était un concept qu'il aimait beaucoup, tout d'abord parce qu'elle suscitait la peur. Mais aussi parce qu'elle pouvait rabaisser n'importe qui à sa pauvre condition. Dès lors, il a choisi d'être l'instrument de la folie... Que les mortels se tiennent à carreaux !
Biographie :

Mon histoire... Je ne sais guère si vous êtes prêts à l'entendre... Mais soit ! Asseyez-vous, prenez le temps d'écouter. Mais surtout, une chose. Ne m'interrompez pas...

Comment je suis né ? Lorsque l'on a 1973 ans, on se rappelle plus vraiment de sa naissance, croyez moi. Quoi qu'il en soit, je peux vous dire avoir vécu longtemps pour en savoir plus qu'assez sur l'homme, la Terre et bien d'autres choses que vous mêmes ignorez encore. Ma naissance n'a que peu d'importance dans le récit monotone de ma vie. Ce qui nous intéresserais un peu plus serais la courte époque qui suivit ma naissance. Comme vous le savez, aucune créature comme je le suis, c'est à dire ce que les mortels appellent démons, n'est né démon. Chaque démon, à eut une forme humaine auparavant, était un être de chair avant de quitter la mortalité pour habiter la malveillance et l'immortalité des enfers. Comme cela fut le cas pour tout démon, il en fut de même pour moi. Il y a presque deux millénaires j'étais moi même un être de chair et de sang vulnérable comme une fleur sauvage devant les tornades et les vents violents. Ma vie mortelle fut courte, très courte. Je n'en ai d'ailleurs peu de souvenirs...

Prince d'un minuscule royaume oublié dans des contrés inhospitalières et reculées, je menait ma vie avec embarras. À 23 ans, je fut touché par l'horrible maladie de l'ergotisme, assez fréquente de mon temps. On la surnommait le mal des ardents ou encore le feu de Saint-Antoine car elle me brûlait de l'intérieur. En quelques mois celle-ci m'avait totalement infecté et les pires maux me prenaient, aucun médecin ne me laissait plus d'une année. Il n'était pas question que je puisse mourir si jeune, d'une façon si pittoresque. Dès lors je me suis accroché, accroché à la vie, alors que mon être pourrissait de l'intérieur. Je vécu trois années de plus avant d'être dans l'impossibilité de me déplacer ou d'esquisser le moindre geste sans souffrir atrocement. Allongé sur mon lit de mort, il ne me restait peu de temps... Ces trois années avaient déjà été un miracle. Mais en aucun cas je ne voulais mourir, mes yeux n'avait pas encore assez vu, mon nez n'avait pas encore assez senti, ma langue n'avait pas encore assez goûter, mes mains et mon corps n'avait pas assez toucher, mes oreilles n'avait pas encore assez entendu. Je fis venir une domestique et lui demanda de m'apporter livre de sorcellerie ou grimoire magique pour lever ma malédiction. Ce fut en vain... ma mort approchait à grand pas, mon corps se laissait dépérir tandis que mon âme tentait de survivre !

Un soir où la pluie s'abattait rageusement sur les fenêtres du domaine, un homme recouvert d'une cape noir avec un capuchon, supplia à mon père, de lui donner le couvert et un lit pour pouvoir dormir. En toute bonté, mais aussi dans une tristesse accablante il le fit entrer sans inquiétude. Ce fut cet homme, ou du moins cette chose qui changea ma vie. Alors qu'il goûtait à de succulents plats, je désespérait dans ma chambre. Plus tard dans la soirée, une personne toqua à ma porte.

"Partez je n'ai aucune envie d'être dérangé", dis-je avec colère.

L'homme entra tout de même, c'était l'étranger, à la cape noire, le mendiant. Il s'approcha de moi alors que j'appelais un domestique pour le faire sortir. Ma domestique allait passer la porte quand l'étranger fit un geste sec de la main et la porte se ferma tout seule, dans un grand coup de vent. Moi horrifié, je demeurais silencieux à présent...

- Il semblerait que tu n'es eut pas beaucoup de chance... mon pauvre...

"Qui êtes vous ?!"

- Calme toi voyons... calme toi. Il semblerait que Dieu ne t'ait laissé aucun chance n'est-ce pas ? Pauvre de toi... N'y a t-il donc aucune justice dans ce monde ? Laissez la mort prendre un visage si beau, si magnifique... Ce serait frôlé le blasphème.

"Que me voulez vous ?"

J'ai une proposition à te faire Seilas ! Que dirais-tu si je t'offre la vie éternelle ? L'immortalité...

Je fut tout de suite tenter par la proposition de l'étranger, mais rien ne devait se précipiter, quelque démon pouvait se cacher sous les sombres replis de cette cape. Déjà mon corps pourri acceptait le marcher, mais mon âme était encore méfiante.

"La vie éternelle ? Quel démon caches-tu vile étranger ?! Rien de tout cela existe !"

- Ah, vraiment ?

Soudain il sortit un couteau qu'il brandit haut. J'eus un cri d'effroi, même si ma mort était proche, je ne voulais pas m'y résoudre. Il planta le couteau non en moi, mais en lui, quelques gerbes de sang éclaboussant mon visage frappé par la peur et la terreur. Au lieu de s'effondrer, il resta immobile, devant moi, comme si la plaie béante qu'il s'était faite ne représentait rien pour son corps. Je voulais l'interroger, mais ma bouche ne sut faire que quelques sons inaudibles ou incompréhensibles.

- Impressionnant n'est-ce pas ? Es-tu toujours aussi sûr que la vie éternelle ne peut exister Seilas ?

"Com-m-ment est-est-ce pos-s-sible ?"

- Oh, si tu acceptes ma proposition tu verras que bien d'autres choses sont possibles...

Devant cette démonstration, je m'étais totalement résigné à accepter l'offre de l'étranger. Du moment qu'il puisse me sauver des griffes acérées de la mort.

"Que devrais-je faire ?"

- Presque rien, fit-il en esquissant un sourire. Rien... je veux simplement que tu punisse les humains de leur péchés, notamment un en particuliers. Tu seras l'instrument de la répression.

Ni mon âme, ni mon corps, n'avait réellement compris ce qu'il venait de dire, mais j'acceptai tout de même, me livrant entièrement aux mains de l'étranger. Il s'approcha de moi, posa sa main sur mon front puis soudain mes yeux se fermèrent d'eux mêmes.

La porte de ma chambre s'ouvrit dans un grand fracas et je pu ré-ouvrir les yeux. Ma domestique, mon père, ma mère et d'autres serviteurs étaient venus à mon chevet. L'étranger avait disparu... Alors que tous me demandaient si j'allais bien, qui étais-ce une violente envie de tuer me pris. Chaque être vivant du château passa sous mes mains et s'effondra dans mes bras. Ma maladie m'avait visiblement quitté et je découvrais des choses, des capacités qui m'étaient encore, jusque là impossible. Je m'en donnais déjà à cœur joie !

Voilà le récit de ma triste humanité qui ne fut longue que de 26 ans. Vous me demandez qui étais l'étranger ? Je vous répondrais que je ne le sais guère, peut-être était Lucifer, ou encore Dieu... Là n'est pas ce dont je me préoccupe le plus. La seule chose qui m'intéressais depuis ma transformation c'était moi, mon être, moi seul ! Et je punissais ceux qui osaient faire de même, ces orgueilleux... ces humains si imparfaits.

Un jour, j'appris l'existence du Devils' Game. Un jeu où chacun mettait ses compétences à l'épreuve dans un tournoi de lutte acharné. Il y aurait de nombreux participants. Et parmi eux, de nombreux participants se croiraient plus fort, plus rusé, plus habile... C'était mon travail de leur montrer le contraire !
Sexualité : Hétérosexuel.
But : Seilas ne coure pas vraiment après un but, ni après un rêve. Il n'a aucune notion de la finalité des choses. Pour lui, toute son existence est éternel, parce qu'il ne peut mourir, et ne peut être vaincu. Dès lors, sa volonté, celle qui le pousse à vivre est tout d'abord sa magnifique existence et par la suite la satisfaction de ses plaisirs... Quels qu'il soient !
Style de Combat : Seilas n'aime pas beaucoup le combat au corps à corps. Ce n'est pas qu'il n'est pas doué, mais c'est juste qu'il à peur de se salir. Dès lors il préfère utiliser la magie. Mais ce qu'il adore surtout, c'est de rendre ses ennemis totalement fou en créant des illusions, en jouant avec ses cinq sens. Donc, dans un combat, l'intérêt de Seilas n'est pas de gagner mais voir son ennemi désespérer et se torturer lui-même. C'est un plaisir qu'il aime assouvir.
Armement : Seilas ne possède aucun arme, aucun... sauf une ! Anya, sa petite lame préférée ! C'est en réalité un simple couteau dont la lame se finit en pointe, mais, pour Seilas, Anya représente beaucoup, car quasiment inoffensive, elle est très utile pour torturer des ennemis.
Pouvoirs : Seilas n'a aucun pouvoir, car il dépend totalement des sphères.
Sphères de Départ :
- 5 Sphères des Ténèbres.
- 5 Sphères du Temps.
Sphères Total :
- 20 Sphères des Ténèbres.
- 20 Sphères du Temps.
- 20 Sphères de l'Esprit.
- 20 Sphères de Gravité.
- 20 Sphères de Lumière.

Autre :

Comment avez vous connu le Forum ? Le forum de Devils' Game était juste au-dessus du mien sur le Root-TopSites. En un clic j'ai découvert un monde amusant dans lequel j'ai voulu participer.
Voulez-vous une chambre à l'Auberge ? Croyez vous réellement que Seilas dormirait dans une auberge miteuse infesté de rats ?

Bonjour Seilas, bienvenue dans les jeux...
Ta fiche est très bonne, elle est claire, quasiment pas de fautes, l'histoire est simple et dans chaque parties, on y voit bien ton orgueil démesuré, j'adore...
De plus le fait que tu n'ai aucun pouvoirs sauf ceux des démons est un choix original que je félicite.

Sur ce:
Biographie: S
Caractéristiques physiques: S
Caractéristiques mentales: S
Description des capacités de combat et des pouvoirs: B
Appréciation générale: A

Rang Total: S

Félicitation, tu intégrés le jeu et la caste des Juges par la même occasion(Isa m'a parlé de toi et tu lui as fait bonne impression). Tu as le droit à 11 sphères au total vu que tu profites de l'offre d'inauguration ainsi qu'à l'anneau des Juges.
Dernière chose, quel étage souhaites-tu habiter? Seuls le 4éme et le 7éme ne sont pas disponibles.
Sinon, quel étage souhaites-tu?

Merci beaucoup, et bien je prendrais le sixième étage, de préférence.

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